Château de cartes
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 Let’s open our eyes, to the brand new day. |Puki <3|

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AuteurMessage
Blanche Sade Lauderdale
The First Joker
Blanche Sade Lauderdale


Messages : 61
Date d'inscription : 10/04/2010
Localisation : Boit sans-doute le thé dans un couloir avec ses poupées.

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Je suis quelle carte ?: Le Joker !
Psychopathologie: Diverses et variées ~
Relationships:

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MessageSujet: Let’s open our eyes, to the brand new day. |Puki <3|   Let’s open our eyes, to the brand new day. |Puki <3| Icon_minitimeMar 1 Juin - 23:02


    [And if I had a dollar for every time
    I repented the sin
    And commit the same crime
    I'd be sitting on top of the world today.
    Emilie Autumn, God help me.]

    Let’s open our eyes, to the brand new day. |Puki <3| F_15mj9vn367gm_a7b2fb9


    Well it’s cold and it’s windy.

    Il réparait ses amies, là-haut. Il les aimait, elles étaient les seules à l’écouter, à le comprendre. A l’aimer vraiment. Elles n’étaient pas imaginaires, elles vivaient grâce à l’horloge de son cœur, mécanique qu’il aurait fallu huiler parfois, mais c’est une tâche que l’on ne peut pas effectuer seul. On essaye. -coucou détraqué- Il essaye de se mettre un peu de baume sur l’organe dans sa poitrine, celui qui palpite les sentiments, les émotions, mais c’est fastidieux. Les poupées pansent un peu, elles aident, elles réconfortent. Elles sont aimantes même si le seul amour dont elles sont capables est destructeur, ça griffe, ça pince, ça mord. Violent. Elles sont une part de Blanche, un cocktail explosif du caractère de leur Princesse. Elles étaient aussi des intermédiaires : certaines étaient cousues à l’intention d’un autre propriétaire, c’était un petit morceau de Blanche mêlé à un bout de l’autre. Peut-être qu’il aurait aimé en offrir beaucoup d’autres … ? Mais Poupée Reine était la seule qu’il avait donnée. Un petit morceau de l’âme de Blanche attaché à l’âme d’Erin. C’était une promesse, un pacte avec une personne qui entrerait dans sa vie pour ne plus jamais en sortir. C’était rare, c’était inéluctable. En fait, les fous n’étaient pas si fous que ça, ils avaient bien compris -quelque part dans leur inconscient- que se lier à Blanche était dangereux. Il aurait fallu approcher la Princesse à l’étrange sourire, au minois félin et sournois. Passer à travers les apparences, gratter la croute d’un bouclier contre la peur, contre le genre humain. C’est lui contre le monde entier. Et c’est parfois Erin aussi. Rien que des fous un peu plus fous, effrayants parce qu’ils sont différents.
    Elles étaient toutes assises autour de lui, elles étaient nombreuses, et elles acquiesçaient, elles comprenaient. Il n’avait pas besoin de parler, elles entendaient. Cependant, elles aimaient bien aussi l’entendre chanter. Certes, il ne chantait pas très bien, sa voix crissait sur les notes de musique, mais il chantonnait pour lui-même une jolie mélodie, une douce berceuse avec le cœur. -My motherfucking heart does CLIC CLOC DING DONG- C’est maman qui susurre à son oreille, doucement, gentiment au gré du vent. Mais ça, c’est remuer les souvenirs et les rêves, ça fait toujours un peu de mal, plus que de bien. Il ferme les yeux sous sa frange, vous ne percevez pas la différence, ne sentez-vous pas le changement qui se produit ? C’est un bal de fantômes quelques années plus tôt, la danse d’une personne aimée au milieu des fous. Et la voix de maman se fait plus cinglante … Qu’elle brûle en Enfer ; il aime mieux la berceuse du vent qui claque à ses tympans, qu’il ne peut s’empêcher d’écouter. Maman lui a préféré Blanche-Neige.


    16H56. Melancholic drinks are good for the dreams.
    Il s’était échappé. Blanche ne pouvait suivre les chemins déjà tracés. Il ne tenait pas à manger avec eux, la seule nourriture qu’il était capable d’ingurgiter était constituée de pommes de terre (cuites ou crues) écrasées dans du vinaigre. Ca aurait pu lui donner des aigreurs, tourmenter son estomac, ce n’était pas le cas. Il ne tenait tout simplement pas à vivre avec eux dans un univers qu’il ne comprenait pas et qui ne pouvait pas l’accepter comme il était. Il aimait le thé également. Bientôt il serait temps de le servir. Poupée Justine et les dix-neuf autres attendaient patiemment de pouvoir tremper des gâteaux secs dans les tasses emplies du liquide odorant. Et même si ce n’était pas vrai, même s’il n’y avait pas de tasses en porcelaine bleue et blanche, la Princesse avait suffisamment d’imagination pour combler ce vide. Alors ça devenait réalité. Il laissait filer ses doigts pendant ce temps, maniant l’aiguille non-pas à la perfection, mais avec une grande agilité, de la grâce au bout des gestes, en digne félin qu’il était. D’abord il utilisait deux morceaux de tissu qu’il cousait l’un à l’autre, ensuite il les remplissait de coton. La ouate voletait partout sur le toit, formant d’innombrables petits nuages dans le ciel brumeux. Un ciel lourd de nuages gris. Alors il trouvait ça beau, simplement. Il sentait son cœur gonfler d’une joie éphémère, irréelle et pleine d’étranges présages. Il fronce le bout du nez, hume l’air. Quelque chose s’annonce, de bon augure ? Quelque chose qui se transforme en quelqu’un, il le sait, en est persuadé. Mais pour l’instant, ce n’est inscrit que dans le vent, et peu importe ce qui arrivera par la suite. Ne pas savoir, c’est plus amusant. Qu’importe ce qu’il en sera.

    Là-haut sur le toit du monde, il était le maître de l’univers. Un univers que lui seul connaissait, à la fois merveilleux et affreux. Parce que c’était beau, mais parce qu’il n’y avait personne avec qui partager les émotions. Il était libre d’imaginer. Le ciel est vert, l’herbe est bleue, la brise souffle fort, il peut toucher les nuages. Neige, pluie, brume, soleil … Arc-en-ciel. Sa veste noire flottait derrière lui, le vent soulevait le t-shirt à rayures rouges et noires. Le diadème trône fièrement au sommet de sa blondeur, et les rayons du soleil renvoient des reflets dorés, des reflets argentés dans les gouttes de pluie. Peut-être que le temps n’a jamais été aussi beau qu’en cet instant, qu’il s’éternisera jusqu’à ce que la nuit tombe. Sans-doute qu’il sera le seul à savoir combien cette journée de mauvais temps aura été belle -l’invité(e) aussi-.
    Sur le toit du monde, ça fait du pop-corn dans son cœur. Il ne se sentait jamais si bien que lorsque lui poussait les ailes de la liberté, qu’il savait qu’il pouvait s’envoler vraiment s’il le voulait, à tout moment, sans contrainte, pour un autre monde. Alors il se sent exalté, suspendu entre vie et mort. Rien ne peut-être plus jouissif, n’est-ce-pas ? Ce sera beau, et grandiose aussi. Mais cela attendra. Il accroche la tête au corps de chiffon. Assis sur l’arrête d’un bout du toit aux tuiles rouges, il repose en équilibre parfait, de corps et d’esprit -en es-tu certain ? Rien ne pourra plus jamais t’atteindre-. Il s’était faufilé par une petite lucarne, celle du grenier, il avait ensuite fallu se hisser sans décrocher de tuiles. Tout cela n’était pas bien solide. Mais ce fut simple, la Princesse était féline malgré la maladresse de son corps d’humain. Le toit était cependant séparé en deux parties : celle où il se trouvait ressemblait à un toit normal, pointu et en tuiles ; plus loin, ce qui ne se trouvait pas au-dessus du grenier mais au-dessus des dortoirs, c’était plat et bétonné. Hideux. Moins dangereux, moins joli, désagréablement humain. Ca ne lui plaisait pas, il préférait s’amuser à être une sorcière et s’imaginer enfourcher un balai volant, s’envoler jusqu’au ciel. Il avait hâte d’y voir la lune, qui ne serait qu’un quartier et formerait un sourire qu’il affectionnait particulièrement. Cheshire Cat.
    Mais à présent, vous vous demandez sans-doute comment toutes ces poupées peuvent tenir sur un toit pentu … ? Elles étaient unies, étrangement, et semblait tenir en équilibre d’elles-mêmes. Par quelle magie ? -Sorcellerie- En réalité, Blanche possédait un nombre inconnu de couteaux d’une forme spéciale -sans-doute avaient-ils été fabriqués sur mesure- qu’il maniait à distance grâce à des fils transparents reliés à ses doigts. Alors pourquoi pas les poupées ? C’était comme un théâtre de marionnettes pour les toits écossais. Bientôt … Bientôt il y aurait un spectateur pour la représentation. C’était effrayant, mais surtout très excitant.

    La poupée n’était qu’un corps et une tête. Si l’invité(e) qui allait arriver était susceptible de l’intéresser, de lui plaire, quelque soit la façon dont ça allait se passer, il la fabriquerait à l’image de cette personne. Et lorsqu’elle serait terminée, il lui donnerait un nom, alors elle prendrait vie, et il pourrait l’offrir à l’invité(e). Il suffisait généralement d’un coup d’œil et d’une parole pour qu’il parvienne à façonner l’être de chiffon correctement. Cependant, il fallait que cette personne arrive à l’heure pour le thé. Notre Joker n’était guère patient, il avait envie de s’amuser.


    Tic-tac-tic-tac-tic ? Tes lacets sont des fées ~

    « Princesse Blanche, l’invité(e) approche ! »
    Justine atterrit sur l’épaule du garçon. Justine est rassurante, c’est la première, c’est l’unique. Blanche est assit en tailleur, et ne fait pas face à la direction d’où il est arrivé. Maintenir l’effet de surprise, deviner. Un sourire apparaît sur sa frimousse. Elle est là, n’est-ce-pas ? Il sent sa présence, non-loin derrière. C’est une invitée finalement, la délicatesse d’une fille, l’innocence d’un enfant. L’étrangeté d’une personne sensiblement semblable à lui.

    « Shishishi … »

    Un rire résonne doucement, chuintement de la cocotte-minute, la voix naturellement grinçante et étouffée de la Princesse. Pas vraiment rassurante, il faut s’y faire. Une manière de parler comme une énigme, plus pour lui que pour elle. That’s all.

    « Quel sera le temps qu’il fera pour les enfants ? »

    Whatever the weather.




    [Voilààà ! J'espère que ça te convient, mon style est un peu zarb' mais bon. Dis-mwa si quelque chose va pas, etc. Sinan, j'me suis inspirée de Dionysos pour ce post.]
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Eléanore Panpukin
IX- L'Hermite
Eléanore Panpukin


Messages : 26
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MessageSujet: Re: Let’s open our eyes, to the brand new day. |Puki <3|   Let’s open our eyes, to the brand new day. |Puki <3| Icon_minitimeMer 2 Juin - 20:53

" Une vrai rencontre,
une rencontre décisive,
c'est quelque chose qui ressemble au destin. "
Tahar Ben Jelloun
____

Il est 16h, du lait est servi au réfectoire.

Eléanore fut tirée de son antre-dortoir pour avaler son lait médicamenté. Du haut de ses treize ans, elle devait encore subir les horaires du repas. Aujourd'hui, Eléanore était assez compréhensive, et ne réagissait pas lorsque deux infirmières vinrent la chercher. Elle prit son petit sac, glissa la boite à musique à l'intérieur et descendit une à une les marches du manoir. Ses chaussures rouges contrastaient avec le vieux bois de l'escalier.

" Crac, crac, crac "

Son esprit vagabondait, elle arrivait au réfectoire, et attendit à la table. Les infirmières la laissèrent seule. On lui apporta son verre sans qu'elle ne s'en rendît compte. Elle regardait la cour du château, et se noyait dans ses pensées. Une brise soufflait, et elle avait comme une envie de sortir. Plus qu'une envie, cela ressemblait à une pulsion.

On s'approcha d'elle, lui chuchota " bois ". Elle ne voulait pas, elle allait se lever et retourner dans son antre. Pourtant, des mains glacées vinrent presser ses épaules pour la forcer à s'asseoir. Elle était fatiguée de ces habitudes, elle n'aimait pas souffrir, pourquoi ne pas le faire aux autres ? Elle pourrait s'amuser un peu... Non, c'est elle qui allait avoir des bleus aux épaules. On porta le verre de lait médicamenteux aux lèvres de l'enfant, elle but et se calma. On la lâcha, elle put remonter les escaliers.


Ses chaussures claquaient de nouveau sur les escaliers.

" Clac, clac, clac "

Elle arriva au palier et crut voir une silhouette au premier étage. Elle fut intriguée, elle resserra plus fort le sac sur elle pour se donner du courage. Sa curiosité donnait de l'élan à son âme. Eléanore atteignit le premier étage, mais elle ne vit personne dans le couloir. Elle ne savait pas où ce qu'elle avait aperçut était allé. Elle attendait, elle espérait entendre quelque chose. Elle s'adossait au mur proche de l'escalier, elle se disait que cette chose allait bien repasser. Au bout d'une vingtaine de minute, Puki réalisa qu'un air frais caressait sa nuque. Elle éternua à deux reprises avant de prendre conscience qu'une fenêtre était ouverte sur sa droite. Cette fenêtre... un peu d'air frais, comme elle l'imaginait au réfectoire. Eléanore se dirigea vers cette ouverture décrépie. L'enfant déposa son petit sac à ses pieds. Elle eut à peine la place pour poser ses deux mains sur le rebord, et tendre un peu le cou afin de sentir la brise. Elle fermait les yeux, et profitait de cette rare liberté.

Lorsqu'elle ouvrit les yeux, elle regarda le ciel et les nuages. Non, ce n'était pas des nuages. Qu'est ce que cela pouvait bien être ? Si, ce sont des nuages, mais ils sont bas. Son esprit commençait par être obséder par ces machins blancs virevoltants dans les airs.

Elle entendit un son étrange. Quelque chose que l'on entend rarement ici, une sorte de rire. Il y a quelque chose là haut, elle en avait la certitude. Cette chose qu'elle avait vu, serait-elle sur le toit ? Elle étudiait la fenêtre, et réfléchissait à la hauteur du bâtiment. Non, la boite se briserait si elle tombait.

Comment pourrait-elle faire ? Sa curiosité la poussait à lutter contre les médicaments abêtissants de l'asile. Soudain elle eut une idée... une souris... comment font les souris pour atteindre le toit ? Le grenier... peut-être passent-elles par le grenier ?

Elle souriait, elle était heureuse, maintenant elle allait surprendre ce qui se cachait à la vu de tous. Sans doute est-ce quelqu'un qui préfère la solitude. Allait-elle déranger, et pouvoir s'amuser avec l'humeur de ce truc ?

Elle ramassa son sac, et marcha d'un pas décidé vers l'escalier qui menait au grenier. On n'avait pas l'impression que c'était une enfant qui montait un escalier, on aurait pu voir une danseuse glissant doucement. Sa précipitation faisait que seul le bout de ses chaussures touchait le sol.

" Tac, tac, tac "

Tout le grenier était poussiéreux, on sentait des odeurs de vieux, ou de mort. Il arrivait de croiser des cadavres de souris ou d'insectes. Sur le sol, on pouvait voir des traces de pas. Eléanore restait là, à contempler les lieux. Cet endroit silencieux, détesté et insolite plaisait à la fillette. Son esprit torturé pouvait se reposer dans cet endroit qui semblait être à son image.

La seule fenêtre du grenier était ouverte, peut-être pouvait-on passer par là ? Pour atteindre cette sortie, elle s'amusait à marcher sur les traces de pas qui étaient déjà dessinées sur le sol. Elle tenait toujours son sac dans ses bras lorsqu'elle fut sous la fenêtre.

Elle était petite, mais elle voulait absolument grimper sur ce toit. Elle mit correctement son sac à dos, mit ses mains à droite et à gauche de l'ouverture et tenta de se hisser sur le toit. Son premier essai fut un échec. Elle sentait la brise, et Eléanore persistait. Sa deuxième tentative était vaine. Elle tentait encore et toujours. Ces échecs poussèrent Eléanore à bout. Cette chose n'est pas loin, il fallait qu'elle la voie.

L'enfant se sentait terriblement ridicule d'essuyer autant d'échec. Puis, elle se rendit compte que non loin de la fenêtre se trouvait une sorte de caisse en bois. Cet objet allait combler sa faiblesse. Cette caisse semblait légère mais solide, c'était l'idéal ! Eléanore la plaçait sous la fenêtre, et grimpa dessus. Son visage de porcelaine sortait enfin.

Ce qu'elle vit l'étonnait. Rien ne bougeait, rien n'était vie. Eléanore espérait créer l'angoisse, la gêne et la frayeur mais au lieu de ça, rien ne réagissait. Avec la caisse, elle réussit enfin à monter sur le toit. Elle tapotait sa robe salie par la poussière, et frottait de ses mains les chaussures.

En contemplant les environs, l'enfant se mit à admirer les poupées toutes alignées. Il y en avait une plus grande, qui lui tournait le dos. Elle était terriblement déçue de ne rien voir s'agiter. Ce qu'elle appréciait c'était ce qu'elle avait cru être des nuages. En réalité, c'était quelque chose de doux qui flottait dans les airs : de la ouate. Elle tentait d'en attraper, mais c'était encore une fois trop haut. Elle n'arrivait pas à sauter, ses essais pour grimper sur le toit, et les chutes l'avaient blessée au genoux. Son sang tachait le collant qu'elle portait. Cela était au moins en adéquation avec ses chaussures.

De la ouate volait encore, le vent jouait avec. Un papillon attiré par la lumière aurait agi de la même manière qu'Eléanore : elle sauta pour l'attraper. Ce saut ne lui rappelait qu'une chose, sa douleur au genou.

D'un naturel si agile et si délicat, Eléanore était quelque peu endormie par les médicaments. Elle ne retomba pas correctement sur le sol, mais elle cogna cette poupée qui était de dos. Alors que les nuages commençaient à déverser une petite pluie, la poupée se mit à réagir. Eléanore avait donc raison de persister. Quelque chose de vivant allait pouvoir lui tenir compagnie.

Peut-être que cela allait être drôle.

--Si la rencontre n'est pas assez développée, ou s'il manque autre chose, dis le moi, je changerai ! ^^'--
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